Qui le pourrait ?

Ou du moins…
Qui le pourrait confortablement, sans perdre un outil précieux ?

Ayant besoin de mon portable pour mon travail, j’ai dû me créer une recette sur-mesure, qui n’implique pas de tout arrêter. C’était le seul moyen pour me débarrasser de mon addiction au smartphone sans risque de rechute.

Pour cela, il faut employer des techniques très particulières, sortir des sentiers battus… Et c’est exactement ça que je peux vous apporter.

Des stratégies redoutables pour :

• Diviser par 6 le temps que vous passez sur votre smartphone
• Eliminer le risque de rechute
• Retrouver vos bonnes habitudes… Et en créer de nouvelles
• Trouver comment occuper vos centaines d’heures libérées

Mais attention, il n’y a pas de magie. Que de la stratégie, des outils, des systèmes et surtout… de la méthode.

Depuis que j’ai reçu mon premier téléphone portable à 15 ans, j’ai connu un seul et même problème :
J’ai une tendance naturelle à ne rien faire. A rester sédentaire, chez moi. A procrastiner.

Alors que conclue-t-on lorsqu’on se rend compte de cette réalité peu séduisante… mais pas de ses causes ?

Eh bien on se dit que ça vient de sa façon d‘être de sa « personnalité », que c’est normal. (Une triste normalité… mais une normalité.)



Et puis un jour…
On rencontre des gens comme soi.

D’autres « loques humaines », qui ne lâchent jamais leurs écrans.
Et qui ont les mêmes comportement que soi :

• – Qui trouvent tout « trop compliqué », y compris des actions objectivement simples.
• – Qui sortent le moins possible, même pour faire des courses à deux pas de chez eux.
• – Qui repoussent l’heure d’aller manger ou oublient de se nourrir, pour rester encore un peu sur leur smartphone, regarder encore « quelques vidéos » ou « quelques articles ».
• – Qui n’ont pas de loisirs en dehors des écrans.
  

• – Qui peinent à travailler… Ou ne travaillent pas du tout.
• – Qui ont un cycle de sommeil déréglé, restent souvent sur leur portable très tard le soir.
• – Qui pour certains disent souffrir d’ « insomnies inexplicables » et expliquent que c’est pour s’occuper pendant ces insomnies qu’ils ont besoin d’écrans.
• – … Qui regardent ce même portable dès les premières minutes au réveil.
• Et
• – Qui déclinent des invitations et des opportunités intéressantes (amis, famille, pro) pour rester chez eux.
• – Qui vivent dans le bazar, parfois entourés d’emballages de nourriture vides à côté du lit.
• – Qui se sentent déprimés, vides, amorphes.
• – Qui repoussent encore et toujours certaines tâches. Qui ont l’impression de passer à côté de leur vie mais n’arrivent pas à se motiver… Alors qu’ils ont essayé plus d’une fois.

• 
  – … Certains allant même jusqu’à négliger leur hygiène ou leur santé… ne se lavent plus, ne se brossent plus les dents, ne vont plus consulter un médecin lorsqu’ils sont malades (ou bien exclusivement en visioconférence)

Et là, ça me saute aux yeux :
1. Ces comportements sont irrationnels.
2. Ils surviennent de façon identiques chez des gens qui ne se connaissent pas.
3. Ces personnes passent toutes un temps phénoménal sur leurs écrans.

J’ai donc bien un problème.
Mais ce n’est pas ma « façon d’être » ou ma « personnalité « .

Ce problème, il est dans votre main, ou dans votre poche.
Et il est bien plus répandu que je ne l’imaginais -ou que vous ne l’imaginez probablement au moment où vous lisez ces lignes-.